LA REDAC' EST SYMPA

A quelques heures du coup d'envoi du Mondial 2010, La Rédac' propose à ses lecteurs ce petit tableau bien sympa ci-dessous que vous pourrez remplir au fur et à mesure de la compétition.

Bien évidemment, le positionnement actuel de la France à la 4ème place du Groupe A dans ce tableau ne saurait-être que le fruit du hasard..........

Excellente Coupe du Monde à toutes et à tous, et préparons nous à serrer les miches dès ce soir devant la téloche !

Concernant notre club chéri, alors que nous étions il n'y a pas si longtemps abreuvés quasiment minute par minute d'infos sur tel ou tel joueur à l'essai ou à l'infirmerie sur le site officiel, la communication est actuellement complètement verrouillée concernant notamment l'effectif actuel et à venir du Red Star.

Si on peut à la rigueur comprendre un souci légitime de discrétion du Club sur certains contacts, passer ainsi du coq à l'âne ne fait pas très sérieux pour un média qui se veut à la pointe du progrès.

Une bonne nouvelle malgré tout que je vous livre en avant-première, "Club de Mon Coeur" a resigné pour un an avec son hébergeur et reprendra ses puissantes activités dans le courant du mois de Juillet ce qui, vous en conviendrez avec moi, constitue l'information majeure de la journée, et peut-être même de la semaine.

Alors.............Heureux ?

 

 

_Tableau Coupe_du_Monde_de_Football 2010.xls

 

 

 

UNE REFORME QUI DIVISE

 

 

Un projet de refonte des championnats nationaux est à l’étude. Il vise à diminuer le nombre de groupes de CFA et CFA2 à l’horizon 2011-2012.

Depuis plusieurs années, la FFF envisage une large refonte de ses championnats nationaux (National, CFA, CFA 2). En 2008, le projet porté par l’U2C2F (syndicat des clubs amateurs) qui prônait un élargissement (un groupe de National, deux de N 2, quatre de N 3, huit de N 4, soit un passage de 220 à 232 clubs) était resté dans les cartons.

Un groupe de travail, mandaté par la FFF et la LFA (Ligue du football amateur) et emmené par Gérard Gohel (président de l’U2C2F et de Cherbourg, CFA) a donc planché sur une nouvelle copie qu’il vient de présenter à toutes les familles du football. Décryptage.

Les modalités. Un National à 20 clubs, trois groupes de N 2 (nouvelle appellation du CFA) et six de N 3 (ex-CFA 2)… Si ce nouveau projet voit le jour, 50 clubs (voir ci-contre) disparaîtraient du paysage national pour être reversés au niveau régional. Soit un passage de 220 à 170 clubs. Au niveau

financier, l’objectif serait de mieux répartir la manne financière de la FFF. « Il existe trop de disparités dans les budgets et pas mal de clubs sont exsangues », justifiait récemment Gérard Gohel, dans les colonnes de Ouest-France. Pour l’U2C2F, il « est impératif » que la FFF redistribue la somme économisée (2 M€) et « augmente son aide ». Le syndicat propose ainsi 40000 € pour chaque club de National et CFA, et 20000 € en CFA 2. Une enveloppe supplémentaire finalement infime…

Les conséquences. La principale nouveauté réside dans le nombre d’accessions entre le futur N 2 et le National : six, au lieu de quatre actuellement. Cela offrirait une montée supplémentaire par groupe à un niveau où, jusqu’à présent, seul le premier accédait à l’échelon supérieur. Mais la saison de transition serait terrible, avec 24 descentes de CFA en CFA 2 et… 72 de CFA 2 en DH. Un nombre jugé intolérable par beaucoup, sans compter les dommages au niveau régional.

Le calendrier. Ce projet a été présenté lors du séminaire des présidents de Ligue et de District les 29 et 20 janvier. Le groupe de travail a maintenant prévu « de faire un point » lors de la l’AG de la LFA, le 6 mars. « Chacun pourra s’y exprimer », prévient Gérard Gohel. Le projet sera ensuite soumis au vote lors du conseil fédéral du 2 mai. Si la majorité l’emporte, la réforme serait mise en place dès la saison 2011-2012, voire 2012-2013.

Les réactions. Les débats risquent d’être tendus. Si les clubs sont favorables à une refonte, cette nouvelle mouture est loin de faire l’unanimité (voir ci-dessous). Dans certaines régions, la fronde s’organise déjà : dans l’Ouest, Lionel Le Gal, le président de l’US Montagnarde est l’un de ses plus virulents opposants. L’U2C2F, elle, « ne prendra aucune position officielle sans avoir écouté tous les clubs », selon Jean-Marc Selzner, son délégué national. Elle leur a donc adressé un questionnaire. Il apparaît que seulement 35 % des 30 clubs qui y ont répondu sont favorables à la réforme proposée par la LFA. Une première tendance qui en dit long sur l’hostilité à ce changement.

 

" LE PARISIEN "  -  M. LAURENT PRUNETA  -  24/02/2010

LES SUPPORTERS, L'AME DU FOOTBALL

 " Que devient un derby bouillant si on enlève les supporters ? Réponse : Rien. Depuis toujours, et à la différence d’autres sports comme le tennis, les supporters occupent une place essentielle dans le football, sport populaire par excellence et qui déchaîne les passions. Et si l’on aime vraiment le football, alors on supporte forcément une équipe plus que tous les autres. Hé oui, on est tous supporters, même les esthètes les plus affirmés du ballon rond.

Spectateur ou supporter ?

La différence fondamentale entre le spectateur et le supporter est que ce dernier participe au match : alors que le spectateur regarde le match de façon désintéressée, et applaudit le beau jeu de part et d’autre, il tente, en prenant parti pour l’une des deux équipes, par ses chants et ses applaudissements, de faire basculer l’issue de la rencontre au profit de son équipe. Cela implique donc une part de chauvinisme voire de mauvaise foi, avouez-le…

Dès lors, on peut penser que le supporter, n’étant pas imprégné de la morale du fair-play, serait en partie responsable de la transformation de l’esprit du football : l’idéal n’est plus de jouer pour la beauté du geste, mais de gagner à tout prix.

Mais il n’existe presque pas de supporters purs et durs, de même que ceux qui viennent au stade sans prendre parti doivent souvent s’ennuyer…

Quel type de supporter êtes-vous ?

On distingue différents types de supporters (sans parler des hooligans, qu’on ne peut pas considérer comme des supporters) dont les degrés d’implication diffèrent :

- Les supporters du premier type, souvent assis, chantent peu. Ils n’hésitent pas à exprimer leur mécontentement si le jeu pratiqué ne leur convient pas, mais cela seulement dans le stade, ils n’organisent pas de manifestations. Ils désapprouvent la violence sous toutes ses formes.

- Les supporters du deuxième type revendiquent leur loyauté à l’égard du club, traitent ceux qui sifflent de «spectateurs». Ils s’organisent en associations de supporters rattachées aux clubs et occupent le kop. Ils ne s’opposent pas aux supporters adverses, avec lesquels ils tentent d’entretenir des liens, et refusent également la violence.

- Les supporters du troisième type, les indépendants, affirment l’extrémisme de leur soutien, très fidèle au club mais beaucoup plus critique vis-à-vis de certains joueurs, ainsi que leur autonomie. Ils rivalisent d’imagination pour trouver des slogans souvent injurieux. Soucieux de défendre leur territoire face aux supporters adverses, ils ont parfois recours à la violence physique, mais ils ne la recherchent pas systématiquement. Finalement, ils s’intéressent généralement plus aux performances de leur propre groupe et aux rivalités entre supporters qu’à leur club.

Des idées contradictoires

On peut reprocher à certains groupes de supporters une certaine contradiction entre leur idéologie et leur comportement effectif.

D’une part, les supporters se posent souvent en opposants du foot-business, et dénoncent les comportements de mercenaires de certains joueurs. Pourtant, peu sont ceux qui refuseraient de voir un investisseur débarquer avec beaucoup d’argent, si tant est qu’il parvient à faire grandir le club au niveau sportif. Malgré tout, il en existe : des supporters de Manchester United, en colère après la prise de contrôle de leur club par la famille Glazer, ont décidé de créer en 2005 un club, le Football Club United of Manchester, qui a obtenu trois promotions en trois saisons ! Comme quoi, il est possible d’exprimer avec succès son désaccord avec les politiques menées par les clubs.

D’autre part, en France, les groupes de supporters les plus influents, les Ultras, revendiquent leur indépendance par rapport aux dirigeants, afin de garder selon eux une liberté d’expression qui serait entravée si le club participe à leur financement. Mais dans le même temps, ils aspirent à une plus grande influence au sein du club, afin que la voix des supporters soit écoutée et prise en compte au moment de prendre les décisions qui guident la politique du club.

A leur décharge, on peut aisément comprendre cette volonté, car, à part dans les quelques clubs gérés par des socios, la devise qui symbolise le rôle demandé au supporter est « Paie ! Chante ! Ne conteste pas ! ».

En effet, les dirigeants veulent un public fervent, discipliné et docile, qui achète places de stade et produits dérivés, encourage de manière inconditionnelle l’équipe, ne provoque pas de débordements, ne critique pas les responsables du club et ne revendique pas de pouvoir. Le supporter est désormais moins important pour le club que le spectateur, qui conditionne l’attribution de droits de retransmission qui définit en grande partie le budget du club.

Malgré tout, les dirigeants essayent d’entretenir de bonnes relations avec leurs supporters, car ils sont indispensables aux clubs : si leur impact sur le budget du club n’occupe plus une place vraiment importante, la vitalité et l’enthousiasme des clubs de supporters sont un signe parlant de la carrure du club, et les matchs joués à huit clos, pendant lesquels l’absence du « douzième homme » représentent de vrais handicaps pour l’équipe évoluant à domicile, symbolisent leur importance.

Quelle place pour les supporters ?

L’apparition de projets qui visent à développer le football participatif ouvre de nouvelles perspectives aux supporters, qui demain pourront occuper un véritable pouvoir au sein de leur club si ces projets tiennent leurs promesses. Cependant, il paraît difficile de conjuguer à la fois la passion qu’éprouve le supporter pour son équipe, et la raison que demande la gestion équilibrée d’une structure aussi importante qu’un club de football. Surtout quand on voit certains agissements violents des groupes de supporters les plus virulents.

Pensez-vous que les supporters méritent une place plus importante dans l’organigramme des clubs ? Et le veulent-ils seulement ? "

Source : "Tout le Football Amateur"  http://footamat.fr

Lien Direct : http://footamat.fr/supporters-ame-football_3133.html

 

L'AVENEMENT DU FOOT 2.0

Un jour, l'histoire retiendra peut-être que l'année 2008 aura été celle de l'avènement du football participatif. En effet, quatre projets se sont lancés dans des aventures ambitieuses, caressant le doux espoir d'intégrer, à long terme, l'élite professionnelle. Et de devenir ainsi le deuxième grand club de la capitale. Notre dossier.  "La Ligue 2 dans 4 à 6 ans"; "la Ligue 1 dans 10 ans", ou "la Ligue 2 en 3 ans". Qui dit mieux?

Ces objectifs ambitieux, vous pouvez les retrouver sur les sites officiels de Paris Banlieue Sud, de l'UJA Paris, d'Issy 365 ou de Cmonclubdefoot, les quatre projets d'un nouveau genre. Leur point commun ? Développer le football participatif. Né en Angleterre il y a quelques années, il permet de réinventer la conception d'un club de football. Au lieu d'aller au stade supporter une équipe sans âme, gérée par des fonds de pension ou des milliardaires, le fan de foot devient, grâce à une cotisation annuelle, un membre actif du club, actionnaire ou "socio", par exemple. 

L'année 2008 peut être considérée comme l'an 1 du football participatif. Pour certains, comme Cmonclubdefoot ou Paris Banlieue Sud, les projets n'en sont qu'à la deuxième phase, celle qui permet de lancer l'appel aux cotisations, et de trouver un club amateur hébergeur. Pour les deux autres projets, ceux de l'agence "We have a dream" et le groupe Sporever, l'histoire est déjà en marche puisque leurs clubs de l'UJA Paris (Alfortville), pensionnaire de CFA, et de l'ASA Issy 365, en CFA 2, sont en plein championnat. Ces quatre projets ont deux rêves plus ou moins avoués: le premier est d'intégrer, à long terme, l'élite professionnelle et le deuxième est de devenir - enfin - le deuxième grand club de football de la capitale. Mais le chemin est encore long. Comment comptent fonctionner ces clubs de football participatif ? Quels sont les pouvoirs de l'internaute/cotiseur ? Quels sont les points forts et points faibles de chaque projet?

Découvrez notre dossier: L'avènement du football 2.0.

Lien vers l'article complet :

http://www.lesdessousdusport.fr/dossiers/projet-cmonclubd...

 

NDLR : Afin d'éviter toute polémique inutile ou interprêtation erronée sur le sujet, la diffusion de cet article sur ce blog ne saurait en rien constituer une approbation particulière de ma part envers les divers projets en cours, (et ce même si l'un d'eux figure en lien sur ce blog) et n'a pour but que d'informer les passionnés de football en général, et les supporters du Red Star en particulier qui doivent tout de même savoir que le Red Star est encore le seul Club "en lice" avec Sénart-Moissy (CFA) dans le projet "Cmonclubdefoot", ce qui ne signifie pas non plus que la Direction du Red Star FC 93 est prête à se lancer dans cette aventure.

 

LES PRIMES DU PSG

Vu sur "Les cahiers du football", un sondage dénommé "Sondage idiot".

Comme vous le savez surement, les joueurs du PSG auraient récemment réclamé une .......prime de maintien.

Mais quelles autres carottes pourraient les motiver ?

1 Une prime de défense pour les défenseurs
2 Une prime d’attaque pour les attaquants
3 Une prime d’absence de prime pour les milieux
4 Une prime de marquage de l’ailier adverse pour Ceara
5 Une prime par passe en avant pour Clément
6 Une prime de sortie aérienne pour Landreau
7 Une prime pour ballon arrêté pour Alonzo
8 Une prime de pied gauche pour Everton
9 Une prime de bonne conduite pour Rothen
10 Une prime de logement pour Souza
11 Une prime de fidélité pour Mendy
12 Une prime de maintien de trajectoire pour Diané
13 Une prime de maintien en public pour Loko

On aurait pu ajouter pour certains, et pas des moindres :

Prime de plongeon dans la surface de réparation (appelée aussi prime de broute pelouse), ceci, déjà fort utile pour une finale de Coupe de la Ligue par exemple, pouvant également s'appliquer aux fins de championnats difficiles afin d'éviter un autre plongeon, un grand celui-là, celui vers la Ligue 2.

FAUT-IL AVOIR PEUR DES SUPPORTERS ?

Dégoté un peu par hasard sur le site du Sénat, ci joint un rapport sur les Associations de Supporters et le football.

NDLR : Ce lien est donné à pur titre d'information aux internautes qui se sentent désoeuvrés en ces longues soirées d'hiver, et ne saurait en rien être une quelconque approbation (ou désapprobation d'ailleurs) de son contenu que je n'ai que très superficiellement parcouru à ce jour.

Aucun message subliminal ni de près, ni de loin, derrière cette initiative, donc.

Ceci étant précisé, bonne lecture à ceux que cela peut intéresser.

 

N° 467

SÉNAT

DEUXIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2006-2007

Annexe au procès-verbal de la séance du 26 septembre 2007

RAPPORT D'INFORMATION

FAIT

au nom de la commission des Affaires culturelles(1) sur les associations de supporters,

Par MM. Bernard MURAT et Pierre MARTIN,

Sénateurs.

http://www.senat.fr/rap/r06-467/r06-467.html